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Les sept exercices de respiration.
Les 2° et 3° exercices

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DEUXIEME EXERCICE RYTHMIQUE

Se tenir debout, colonne vertébrale, nuque bien droites, reins dé-cambrés, épaules tombant naturellement, bien en place, les bras le long du corps; la tête droite, le visage empreint d’une expression de calme; tous muscles détendus, dents ne se touchant pas, langue souple, genoux non raidis. Il est essentiel de bien surveiller l’état de détente et l’expression du visage. La position parfaitement droite de la colonne vertébrale ---- « colonne de vie » des Anciens ---- permet que s’établisse la liaison entre le cœur, siège de la pensée individuelle, conscience; et le cerveau, par l’entremise de la mœlle épinière, qui est le « câble vital », dont toute voussure intercepte échanges et contrôle.

Il faut que le poids du corps repose sur la plante des pieds, et non sur les talons. Pour y parvenir aisément, sans effort, on se balance doucement d’avant en arrière, jusqu’à avoir trouvé le bon équilibre.

En tout, il faut observer les mêmes prescriptions que pour le Premier Exercice ---- en se tenant debout au lieu de prendre place sur un siège.

Lorsqu’on a définitivement jugé être au point de détente, de correction voulue de la tenue: on commence l’exercice; celui-ci consiste à inspirer pendant sept secondes, en fermant les poings et les serrant graduellement toujours plus fort, et à s’élever en même temps, progressivement, sur la pointe des pieds. A la fin des sept secondes d’inspiration régulière, on doit se trouver, par conséquent, haussé sur la pointe des pieds, poings solidement tenus serrés ( le pouce rabattant sur les phalanges des doigts ), les poumons remplis d’air; à ce moment, on reste deux, trois ( pour les débutants ), ou quatre secondes, dans cet état; puis on redescend lentement en expirant pendant sept secondes, pour se retrouver poings relâchés, plantes des pieds posées sur le sol, poumons vidés; on reste les poumons vides pendant quatre secondes; recommencer pendant deux minutes au début, ou trois, jamais davantage, et jamais plus de deux fois par jour.

Afin que chacun, puisse aisément chaque jour exécuter au matin, cet exercice, sans avoir besoin de démonstration, nous donnerons quelques explications complémentaires.

Il est essentiel que cet exercice, pour donner de bons résultats, soit fait doucement, et que inspiration, « serrage » du poing, et « levée » des pieds sur la pointe, s’effectuent en même temps, sur le rythme régulier de l’inhalation; qu’il n’y ait pas de saccades, ni pendant l’inspiration, ni pendant l’expiration; que les temps de tenue du souffle, et d’arrêt du souffle, soient observés (revoir les explications données pour l’Exercice Préliminaire et le Premier Exercice, jusqu’à s’en être bien pénétré, et les appliquer à tous exercices); que pour forcer le serrage des poings, la force s’exerce par volonté dans ces seuls poings, et non dans les bras, les épaules, qui doivent rester complètement souples; que jamais les mâchoires ne doivent se serrer pour participer; et qu’à la descente, il faut arriver tout doucement à reposer les pieds bien à plat, en gardant le poids du corps sur les plantes, que les talons doivent juste toucher le sol, mais non s’appuyer.

Pour la tenue et l’arrêt du souffle, les débuttants pourront, comme dit, ne garder le souffle que deux ou trois secondes, avant de parvenir aisément à quatre, après quelques semaines d’exercice; de même qu’ils pourront ne rester « à vide » (arrêt), également qu’une, deux ou trois secondes, afin de le faire aisément, pour permettre une facile gradation, jusqu’à complet entraînement pulmonaire. Il faut toujours faire ces exercices à l’aise, sans contrainte, fatigue, ni effort, sinon, aucun bénéfice n’en serait retiré. Application, persévérance, font plus qu’enthousiasme, emballement !

Parvenir graduellement, sûrement, est seul juste et appréciable. Tenir le souffle quatre secondes, attendre quatre secondes, après l’expiration, avant d’inspirer à nouveau, est générateur de force, d’endurance, de multiples bienfaits, mais seulement pour qui travaille à y atteindre graduellement, avec bon sens. Il devient facile alors, peu à peu, d’augmenter, même beaucoup, ces durées, mais il faut d’abord savoir inspirer et expirer facilement pendant sept secondes à volonté, consciemment, et à propos.

Ce Deuxième Exercice peut également, par une variante agréable, s’exécuter en marche. Partant d’une démarche souple et légère: rythmer l’inspiration du souffle sur 3, 4, 5, 6, 7 pas (on y parvient peu à peu), faire 1, 2, 3, 4 pas (ne jamais faire beaucoup au début), en gardant les poumons remplis; puis expirer en faisant de 1 à 7 pas, selon faciles possibilités, et en faire 1, 2, 3, 4 sans reprendre de souffle; puis, aspirer à nouveau. Cet exercice, en marche, est éminemment salutaire, mais nous le répétons, faire au début seulement très peu, conduira seul à l’accomplir parfaitement et avec plein profit. Observer en marchant de bien « masser » les plantes des pieds et de ne jamais taper du talon. Cela est d’une grande importance pour l’équilibre corporel, pour le bon fonctionnement et la santé des organes éliminateurs et générateurs, et apporte un grand soulagement à l’activité cardiaque.

Le sens de l’ouïe s’affine dans une grande mesure, la stabilité, l’équilibre corporel s’améliorent, les membres inférieurs deviennent souples et résistants, le système veineux, si souvent endommagé, reprend tonicité et vigueur.

TROISIEME EXERCICE

Nous ne reviendrons pas sur les indications données, dans l’Exercice Préliminaire et le Premier exercice, concernant la tenue droite et souple, l’indispensable détente de toutes les parties du corps. Il reste entendu que ces mesures sont les compléments irremplaçables de la bonne exécution et de la réussite de tous exercices.

Le visage, à rester ainsi parfaitement détendu, les mâchoires non serrées, la langue bien à plat ---- gagne de garder, ou de reprendre la netteté de ses lignes, déformées par tant d’inutiles crispations qui sont le commencement du travail de burinage des faux plis et déformations, qui peu à peu mettent un masque sur la vraie physionomie. Les rides qui se marquent si prématurement chez beaucoup, ne sont bien souvent que les suites de véritables grimaces qui se fixent définitivement ensuite de la répétition. Toutes impressions réagissant sur le système nerveux, s’il n’y a pas contrôle de celui-ci, ce sont surtout les muscles du visage, qui en expriment, par contractures, les sensations éprouvées. Mécontentement, étonnement, chagrin, rire, ennui, tout met son sceau sur la physionomie. Il est important de veiller aux réactions et de garder le plus possible une expression détendue et souriante, déjà, pour que soit respectée l’harmonie des lignes, de la forme du visage; il est bon encore et surtout, de savoir que là, ne s’arrêtent pas les bienfaits ---- certains n’ont pas compris encore, que même l’apparence a lieu d’être satisfaisante, en dehors de toute vaine et superficielle coquetterie ---- mais que de plus, toute crispation, raideur, maintenue inconsciemment dans une quelconque partie de l’organisme a ses exacte relation et contre-partie dans une partie du cerveau.

La langue maintenue souple dans l’écrin des mâchoires non serrées, permet une meilleure et plus large utilisation de l’entrée des voies respiratoires, des cordes vocales. Qui sait maintenir visage, langue, maxillaires, nuque, cou, toujours à l’aise et souples, et qui s’exerce, pour améliorer toujours, s’apercevra rapidement qu’il peut parvenir à développer sa voix en harmonie et en force, dans des proportions insoupçonnables. De plus, l’acte respiratoire en est grandement facilité, et tout l’organisme y trouve large amélioration.

On ne pense point assez aux petits détails quand on décide de partir à la conquête de soi ! Ils sont cependant d’une utilité égale aux plus grands efforts; s’ils n’ont pas été envisagés, ils entravent sourdement et empêchent d’aboutir. N’oublions jamais le petit gravier qui fausse arrête le mécanisme des plus merveilleux rouages.

Ce Troisième exercice, dont la figure est représentée sur la planche n° 1, en fin de ce volume, doit être exécuté assis sur une chaise ou tabouret dont la hauteur de siège permette que l’équerre formé par cuisse et jambe soit absolument exacte; le pied doit donc reposer bien à plat sur le sol et le genou ne doit être ni soulevé ni baissé ---- comme indiqué pour les exercices: Préliminaire et Premier.

Lorsque la bonne position est prise, faire les respirations préliminaires: quatre ou cinq inspirations, expirations, consécutives, rapidement effectuées, puis vider à fond les poumons par la dernière expiration, aussi prolongée que possible sans effort. Tout acte accompli par effort produisant crispation et tension, est de mauvais rapport.

Pour cet exercice, le point de fixation, de concentration sera posé, non sur la muraille, comme pour les précédents exercices, mais à terre, à une distance de trente centimètres environ de la pointe des pieds; un centime, un bouton, enfin quelque rond de nuance foncée de la dimension d’un centime, et qui ne soit pas brillant.

Si c’est une pièce de monnaie qui est choisie, il est juste qu’elle soit de la moindre valeur possible, car il n’y a pas utilité à se concentrer sur l’argent, qui est, des choses à acquérir par l’être humain, celle qui doit le moins retenir son attention. Non qu’il faille être indifférent ou prodigue et se suffire de haillons, ou supposer que d’autres doivent pourvoir à nos besoins, et dédaigner la valeur d’échange utile que doit représenter l’argent, qui n’est mauvais qu’aux mains malfaisantes d’ignorants et d’incapables ---- mais il faut tâcher, pour avoir droit à sa part, d’acquérir d’abord bon sens, force et courage, alors, tout ce qui est nécessaire à la vie de l’être utile, lui parvient grâce à son initiative créatrice, à la valeur de ses capacités et à leur utilisation bonne.

Travailler, mériter, gagner, cela seul en tous domaines, rapporte à chacun son dû.

Aussi bien, tout ce qui peut s’acheter à prix d’or ne comporte rien de ce qui fait la vie véritable, de plénitude, de joie, de bonheur ! Santé, intelligence, sagesse, noblesse de cœur et de sentiment, ne se trouvent sur aucun marché... Ces trésors peuvent cependant être développés, retrouvés, en soi, par chacun, car tout être les possède, enfouis, inutiles souvent, mais il est capable de les rendre actifs, agissant, par efforts de redressement, par reprise de soi, gagnée par concentration et travail.

Assis, et les yeux tranquillement fixés sur le centime, les jambes à l’équerre, les pieds formant le V, comme pour le Premier Exercice: pointes à trente ou quarante centimètres environ l’un de l’autre, talons à dix ou quinze centimètres, ---- beaucoup dépend, pour le juste écartement, de la taille et corpulence.

Les mains, qui sont posées à plat sur les cuisses ---- pouce en dedans, doigts à l’extérieur, ---- restent souples et ne doivent jamais servir d’appui. Pendant tous les mouvements, l’attitude entière restera souple, pieds et mains ne seront pas déplacés, le regard ne quittera pas le centime. Seule, la colonne vertébrale devra toujours rester droite et ferme, car c’est elle qui conduira l’exercice, et toute coudure ou voussure, empêcherait le bon résultat de l’exercice d’être ressenti. La ligne de la nuque ne devra pas changer, c’est-à-dire qu’elle devra rester toujours droite; bien observer cela, lorsque, penché en avant, on reste le torse posé sur les cuisses en tenant le souffle, et qu’ensuite, d’un mouvement de tout le buste, on se relève sans s’aider des bras ou des mains, en expirant; quand on se retrouve assis, droit sur la chaise, la tête doit être parfaitement demeurée dans le prolongement de la colonne vertébrale.

DESCRIPTION DE L’EXERCICE

Assis, mains posées sur les cuisses, les yeux ne quittant pas le centime, aspirer pendant 7 secondes, tout en penchant graduellement le buste, maintenu droit par la colonne vertébrale, jusqu’à parvenir à le faire reposer sur les cuisses ---- tête gardée, ainsi que dit plus haut, dans le prolongement de la colonne vertébrale ---- rester ainsi 4 secondes en tenant les poumons pleins d’air, puis remonter le torse jusqu’à se retrouver dans la position de départ, en expirant graduellement, pendant 7 secondes que prendra la montée. Ce mouvement du buste doit se faire par une flexion de l’articulation des hanches.

Pour faciliter la tenue de l’attention parfaite sur l’exercice et son exécution, qui est indispensable à qui veut connaître les résultats immenses que cet exercice peut amener, ---- il est bon de suivre mentalement une formule lapidaire

Par exemple « Respir est vie ». Garder un mot présent à l’esprit pendant les 7 secondes d’inspiration: Respir; ---- Est pendant les quelques secondes de tenue; ---- Vie pendant les 7 secondes d’expiration; et rester « à vide », arrêt de repos, pendant 4 secondes, avant de recommencer le mouvement complet. On répétera cet exercice pendant 3 minutes au maximum; et jamais plus de deux ou trois fois par jour, lorsqu’on est parvenu à l’accomplir aisément, sans aucune difficulté.

Cet exercice est très puissant; il est sage d’en faire très peu au début, et de ne pas forcer inspiration, tenue, expiration et arrêt du souffle; on parviendra bien plus vite à l’exécuter facilement et dans toute l’ampleur voulue, que si l’on prétend y arriver de force. Faire plutôt moins, que plus, est gage de succès.

Une variante d’exécution de cet exercice, dont l’effet est particulièrement puissant ---- qui est, en raison de cela, à pratiquer seulement lorsqu’on a déjà acquis la parfaite maîtrise de la première forme donnée ---- est celle-ci: en inspirant, et pendant qu’on incline le buste, au lieu de fixer le point de mire déposé sur le sol, poser le regard sur la pointe du nez, l’y maintenir encore pendant les secondes de tenue du souffle; et, pendant le mouvement de redressement du buste, et l’expiration de 7 secondes, faire remonter le regard graduellement de la pointe du nez à la racine, le maintenir la pendant les secondes d’arrêt du souffle, et recommencer la descente du buste en inspirant, le regard glissant de la racine du nez à la pointe; le tenir à nouveau fixé sur cette pointe, remonter le buste en expirant, le regard remontant le long de l’arête du nez et se fixant à la racine, ainsi de suite jusqu’à la fin des mouvements. Cela fortifie les nerfs moteurs et oculaires, et aide également beaucoup à l’obtention de la stabilité du regard, ce qui contribue à amener un rapide developpement de la faculté de concentration.

Une grande quantité de force nerveuse, d’électrisme est produite dans ces exercices par les respirations rythmées; cette force doit être emmagasinée dans les ganglions en vue des besoins ultérieurs. Tant que l’organisme n’est pas suffisamment entraîné, que les centres nerveux ne sont pas, peu à peu, remis en vibration, ne sont pas réglés, équilibrés, selon le rythme vital nouveau amplifié, ils ne sont pas aptes à recevoir cet excédent, et il peut se produire quelque peu de désordre, tels que nervosisme, ou encore, au contraire, une tendance à l’imagination rêveuse, à l’apathie, qui rend méditatif et enclin à la sentimentalité vaine qui fait gaspiller temps et énergie vitale en des poursuites de chimérique bonheur.

Le but de cet exercice est, au contraire, de favoriser le développement de la faculté de concentration, dont nous avons vu l’importance dans le chapitre qui précède.

Les postures dans lesquelles cet exercice fait accomplir inspiration, tenue, expiration, arrêt du souffle, amènent un développement de la partie supérieure des poumons, et par là, on agit sur le groupe frontal, intellectuel, du cerveau, qui est en relation directe avec les sommets pulmonaires (la respiration des individus de base intellectuelle est celle dite « supérieure » ou des sommets pulmonaires). La mémoire intellectuelle, qui, nous l’avons vu, agit et réagit objectivement, s’allie également à la mémoire de la vie subjective, au ressouvenir, réveille la faculté de concentration, qui agit et prend contrôle, ainsi, à la fois sur l’extérieur, l’ambiance, la vie objective, et sur la vie intérieure, le ressouvenir, qui devient utilisable, qui est aide et appui, en rendant à l’être la Connaissance innée.

C’est seulement lorsqu’il est fait correctement, avec détente et parfaite attention, que cet exercice permet ce réveil de la parfaite et féconde concentration, indispensable pour amener épanouissement physique et mental.

Tant qu’il n’est pas accompli selon les justes données, nous le répétons, il ne conduit pas à la réalisation, mais à une vague sentimentalité, forme manquée, déviée, de la vraie sensibilité, de l’amour sain et fécond, qui seul, conduit, par sagesse, au vrai bonheur et permet d’envisager le présent dans toute sa beauté.

Physiologiquement, cet exercice apporte d’heureuses modifications dans le fonctionnement organique; il contribue à amener des proportions correctes dans la forme corporelle. Buste et abdomen retrouvent leur forme normale, l’empâtement du bassin, de l’abdomen, des hanches, disparaît. Il se produit peu à peu un assouplissement qui rend tous mouvements aisés qui étaient autrefois pénibles: se baisser et relever avec souplesse, ramasser et soulever de terre un objet sans être obligé de souffler, gémir, parce que dos et reins refusent l’aide, courir sans essoufflement, sont les moindres bienfaits que procure la pratique de cet exercice. Il a de plus, au point de vue de la rééducation des appareils pulmonaire et digestif, une grande utilité.

Développant et fortifiant les muscles diaphragmatiques et intercostaux, qu’on peut en quelque sorte s’imaginer sous la forme de « volants » de l’impulsion vitale respiratoire ---- et qui sont fortement travaillés, développés par cet exercice et les mouvements qu’il comporte ---- un accroissement, une ampleur des mouvements respiratoires va s’amplifiant graduellement, permettant l’exercice d’une respiration large, profonde, régulière et aisée.

Cet exercice « masse » littéralement les régions épigastrique, abdominale et rénale, en renforce la musculature, et il améliore immanquablement le fonctionnement des organes y contenus.

Ptoses diverses, stase intestinale, veineuse, congestion des organes génitaux et du bassin, des membres inférieurs, s’améliorent peu à peu, jusqu’à disparaître complètement, lorsque, avec persévérance, cet exercice complet est journellement exécuté au moins une fois, en suivant rigoureusement les prescriptions données.

Bien entendu, il n’est promis à personne de parvenir à remédier à des états défectueux qui ont mis des années à se préparer sournoisement, et qui sont passés à l’état chronique, en quelques jours, ou même quelques semaines, comme il n’est pas rare de le voir promettre par des ignorants !

Toutes promesses de ce genre sont fallacieuses; nous ne faisons d’ailleurs jamais aucune promesse; chacun décide pour soi, de ce qu’il consent à faire et c’est à lui seul, et par lui seul, que viennent insuccès ou bienfaits.

Nous affirmons cependant, à tous ceux qui pratiqueront cet exercice avec régularité, attention et bon sens, qu’une rééquilibration certaine de leurs fonctions organiques s’amorcera rapidement, et qu’un développement des facultés cérébrales, par concentration, leur prouvera que toutes possibilités sont latentes en l’homme, qui peut décider de leur essor, de leur utilisation.
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